En 1964, la Belgique signait des conventions bilatérales avec la Turquie et le Maroc pour le recrutement de travailleurs originaires de ces pays.
La Belgique avait besoin de main-d’oeuvre pour ses mines de charbon et tous ces hommes et femmes étaient les "bienvenus en Belgique", comme l’indiquait la brochure distribuée par les consulats de Belgique à l’étranger.
Et ce, bien q’un très léger dispositif d’accueil ait été mis en place à leur arrivée.
60 ans après, pour ces hommes et ces femmes qui se sont installé·es chez nous, pour les générations qui les ont suivies, il importe de raconter cette histoire, celle de l’immigration souhaitée par la Belgique et qui fait partie de l’histoire de notre pays.
Le jeudi 16 janvier, le Centre culturel de Dison inaugurera son premier "POP UP" ou "POP HOP HOP UP". Un lieu éphémère destiné à accueillir une exposition, ainsi qu’une série d’ateliers et d’activités. Une déclinaison culturelle d’un concept commercial, à savoir les "pop up stores" ou "magasin pop up", que l’on peut voir apparaître régulièrement dans les villes.
C’est quoi être blanc·he? Lorsqu’elle est posée, cette question entraîne presque systématiquement chez les personnes concernées des réactions similaires: de la surprise d’une part, un certain malaise d’autre part.
Chaque année, en novembre, les Centres culturels et les Bibliothèques de Dison et Verviers consacrent une série d’activités à la lecture et à l’écriture, regroupées dans le projet "Les Mots nous rassemblent".
L’objectif, souligner le rôle des mots dans la construction d’une société juste et égalitaire.
L’intelligence artificielle et le numérique permettent de créer des images plus vraies que nature. Des images qui peuvent faire vaciller notre sens des réalités.
Emmanuel Macron en costume, assis sur un tas d’ordures en pleine grève des éboueurs ou debout contre sa propre réforme des retraites. L’ancien président Donald Trump qui résiste à une arrestation musclée. Le pape François qui parade en doudoune Balenciaga. Ce genre d’image alliant situation improbable et réalisme saisissant a inondé la toile. En cause : non pas une réalité dystopique, mais l’intelligence artificielle.